Pamphlet contre Edouard de Fénon
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Pamphlet contre Edouard de Fénon
Rumeur d’une couardise
Pour preuve de sa couardise légendaire, le pantin Edouard le Fénon s’adonne à un passe-temps qu’il appelle « guerre ». Attaquant la nuit venue (tel un coq Ganondien dont l’horloge est réglée à l’envers du fait du blé moisi dont il se nourrie) sans aucune déclaration de guerre – car il répugne à piocher dans l’or volé au Falde pour payer un coursier – il se faufile tel un renard et attaque les villes préalablement attaquées par d’autres seigneurs...
Il va s’en dire que nous n’avons jamais vu auparavant un tel courage de la part d’un cannibale dont la seule soif de sang, et un goût prononcé pour la chair humaine, le pousse à lancer des attaques sans honneur, allant à l’encontre du dernier lambeau d’humanité subsistant en lui.
Edouard se lève le matin – non pardon, la nuit, comme tout rongeur - en se demandant ce qu’il va pouvoir faire de sa NUIT. Eh bien la réponse est simple : il va aller grignoter des villes – comme tout rat.
Edouard n’aime pas l’art de la guerre non, il ignore le sens du mot art, mais comment lui en vouloir ? Car comme le dit le dicton, « apprend une vache à brouter où elle mangera ton foin ». Edouart le Fénon porte cette répugnance de l’honneur en lui. Le bel’nom de Edouard le Fainéant lui scie à merveille. La honte me saisirait si un tel seigneur était mon voisin.
Mais encore une fois, comment lui en vouloir ? Il est bien connu que certains « seigneurs » ne sont sur un trône que parce qu’il leur rappelle le pot de chambre de leurs aïeules soupirants. Toutes les personnes qui ont pu échapper à sa main sournoise nous ont confiées ceci : « j’avais sentis une odeur de bouse !!! je me suis enfuis par nécessité je voulais pourtant combattre !! ».
Nous terminerons ce texte en concluant par ce simple dicton : « si tu veux survivre à un coq Ganondien, ouvre grand les narines ».
Il va s’en dire que nous n’avons jamais vu auparavant un tel courage de la part d’un cannibale dont la seule soif de sang, et un goût prononcé pour la chair humaine, le pousse à lancer des attaques sans honneur, allant à l’encontre du dernier lambeau d’humanité subsistant en lui.
Edouard se lève le matin – non pardon, la nuit, comme tout rongeur - en se demandant ce qu’il va pouvoir faire de sa NUIT. Eh bien la réponse est simple : il va aller grignoter des villes – comme tout rat.
Edouard n’aime pas l’art de la guerre non, il ignore le sens du mot art, mais comment lui en vouloir ? Car comme le dit le dicton, « apprend une vache à brouter où elle mangera ton foin ». Edouart le Fénon porte cette répugnance de l’honneur en lui. Le bel’nom de Edouard le Fainéant lui scie à merveille. La honte me saisirait si un tel seigneur était mon voisin.
Mais encore une fois, comment lui en vouloir ? Il est bien connu que certains « seigneurs » ne sont sur un trône que parce qu’il leur rappelle le pot de chambre de leurs aïeules soupirants. Toutes les personnes qui ont pu échapper à sa main sournoise nous ont confiées ceci : « j’avais sentis une odeur de bouse !!! je me suis enfuis par nécessité je voulais pourtant combattre !! ».
Nous terminerons ce texte en concluant par ce simple dicton : « si tu veux survivre à un coq Ganondien, ouvre grand les narines ».
Signé : Emmanuelle Des Chemins Croisés, Satire d’Alti
Callisto- Nombre de messages : 68
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Cité : Alti
Date d'inscription : 12/02/2008
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